Pédaler nu, est-ce possible ? [01.09.22]

En 2020, Jochen et moi, nous avons découvert et apprécié la randonnée nue. Cette année, l'occasion s'est présentée d'essayer le vélo nu, car Jochen ne marchait pas bien à cause d'une opération du genou.
Nos peaux d'agneau en selle de vélo étaient déjà dans l'attente joyeuse de la randonnée WNT du dimanche 14 août, un circuit de 45 km au départ du parking 3 de Metelen, près du Dinopark. Nous sommes partis avec près d'une demi-heure de retard, vers 11h25, par une température avoisinant les 30°C à midi. En habit naturel avec le vent de la route, elles étaient, comme on pouvait s'y attendre, très supportables.
1/15 Nos problèmes de navigation semblaient anodins par rapport à la panne du cheval de trait de la calèche.
1/15 Pédaler soi-même ou miser sur un cheval de trait ? 2/15 Problèmes de l'application de navigation
Le groupe de 13 participants (une deuxième femme en plus de moi) s'est rapidement dispersé et il a fallu un certain temps pour que les vélos électriques et les vélos à assistance électrique s'adaptent les uns aux autres. Si seulement la navigation de l'itinéraire (Komoot) ne nous avait pas laissé tomber à plusieurs reprises. Nous avons profité de la pause d'orientation pour discuter avec une dame qui avait dû interrompre son "voyage en carrosse de camping" parce que son cheval avait glissé et n'était donc plus en état de tracter.
3/15 Le logiciel de navigation gardait durablement quelques secrets pour lui
3/15 Le logiciel de navigation gardait durablement quelques secrets pour lui
4/15 Nous avons réussi à monter jusqu'à la tour d'observation
4/15 Nous avons réussi à monter jusqu'à la tour d'observation 5/15 La vue vers le bas montre une forte ombre 6/15 Un extrait d'image montre des détails
Mic nous avait prévenus qu'il y avait une montée sur le parcours jusqu'à une tour d'observation d'où l'on pouvait voir jusqu'aux Pays-Bas. Même en tenue naturelle, je transpirais, mais l'avantage était que la sueur séchait directement et qu'il n'y avait pas d'odeurs désagréables.
Le point culminant a été la pause de midi au lac Kieferngrundsee, où nous avons retrouvé le groupe de randonneurs et pris ensemble un bain rafraîchissant. Les baigneurs textiles qui nous entouraient réagissaient de différentes manières : ceux qui exprimaient de la malveillance, ceux qui observaient avec pudeur et retenue, ceux qui cherchaient à discuter avec curiosité et intérêt. La foule de randonneurs et de cyclistes nus qui m'entourait m'a donné beaucoup d'assurance pour prendre une photo de groupe au bord du lac !
7/15 Pour se reposer au lac Kieferngrund
7/15 Pour se reposer au lac Kieferngrund
Pour la deuxième moitié de la randonnée à vélo, j'ai également renoncé à mes sandales (ce qui s'est malheureusement avéré après coup être trop exigeant pour mes oignons de pied ; il faut de l'entraînement). Le bas du dos a également protesté malgré le rembourrage de la selle en peau d'agneau. Néanmoins, c'était une action qui valait la peine d'être répétée !
Finalement, nous avons raccourci la suite de la randonnée à environ 38 km, car nous avions fait la 1ère randonnée à vélo des journées WNT à un rythme assez modéré et une halte était prévue pour le soir. – Angela & Jochen

La poule dans le panier ! - un triathlon individuel [01.09.22]

Lors du tour à partir de Einen, j'étais en effet la poule dans le panier avec 10 participants au total. L'annonce préalable suggérait la possibilité d'effectuer un triathlon individuel. Jochen et moi avons commencé cette action par une natation de 500 m dans la piscine de notre camping naturiste près du Marbecker Bund. Nous avons rejoint la 1ère partie de la randonnée à vélo (20 km) pour parcourir encore 7 km avec les randonneurs après la pause de midi commune.
8/15 C'est parti
8/15 C'est parti 9/15 En route le long de l'Ems sur l'ancien chemin de poste 10/15 Panneau d'information sur l'ancien chemin de poste
Un randonneur a profité d'une courte pause baignade dans l'Ems pour se mettre brièvement à nu avec l'un de nos vélos, avant que nous ne parcourions seuls le reste du "AltenPostWeg" (7 km) en direction du parking. Pour moi, cette situation représentait un défi, car nous n'étions plus à l'abri du groupe. Mais je me nourrissais encore des heures passées et je n'ai fait que des rencontres amicales ou soi-disant indifférentes.
11/15 Non, ce n'est pas une contre-manifestation - seulement un virage bloqué
11/15 Non, ce n'est pas une contre-manifestation 12/15 Un petit arrêt sur la piste cyclable
13/15 Un paysage de parc accueillant
13/15 Un paysage de parc accueillant 14/15 Un panorama à vélo
Jochen et moi nous sommes accordés une dernière pause baignade sur la "plage de sable" et avons été rapidement rattrapés par les randonneurs. Nous avons ainsi pu faire quelques belles photos de groupe. Je n'ai pas eu le courage de parcourir les derniers 50 mètres le long de la route jusqu'au parking. Il a fallu sortir le paréo.
15/15 C'était une journée magnifique !
15/15 Nous nous sommes beaucoup amusés !
Dans l'ensemble, ce fut une expérience merveilleuse, surtout parce que nous n'avons pas eu à nous soucier de nos vêtements et que la "transpiration" n'est plus un problème. Les expériences que j'ai faites m'ont littéralement poussée à dire aux naturistes des campings, par exemple, que leur environnement se prêtait parfaitement à proposer à leurs membres une fois une randonnée à pied ou à vélo, et pas seulement à se "cacher" (honteusement) derrière des clôtures opaques. – Angela & Jochen